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LES HUILES ESSENTIELLES ANTI-RIDES
Show more
A partir d’un certain âge, nous sommes à l’affût des premières rides sur notre visage, marques du temps qui passe, inexorablement. L’éloge de la jeunesse, arbitrairement synonyme de beauté, nous pousse à vouloir un visage plus lisse, à la peau rebondie. Argument marketing des marques de cosmétiques dits « conventionnels », la recherche à tout prix d’une peau de bébé peut vite devenir une manne financière, et une obsession pour certain(e)s. Mais au risque de vous décevoir, la solution miracle anti-ride n’existe pas, les rides sont l’apanage de toutes et tous ! Cependant, il existe des solutions pour améliorer la tonicité de la peau, atténuer les marques du temps et tout cela de façon naturelle. En effet, des huiles essentielles bien choisies, en synergie avec des huiles végétales ciblées peuvent aider à ralentir le phénomène, sans apporter de composants chimiques inutiles pour la peau, et pour notre organisme ! Voici notre sélection d’huiles essentielles dites « anti-rides », à utiliser en se conformant aux précautions d’usage.
CHOISIR LES HUILES ESSENTIELLES COMME ANTI-RIDES : UNE QUESTION DE BON SENS
Au fil des années, on perçoit les premiers signes de l’âge : la peau devient moins souple et moins ferme. Les rides, plis sur la surface de l’épiderme causées par cette perte de tonicité cutanée, se font de plus en plus visibles. Elles se remarquent principalement sur le visage, le cou, le décolleté et les mains, et sont engendrées par divers facteurs : ralentissement de la sécrétion hormonale, baisse de la production de collagène (qui est significative passé la quarantaine) et d’élastine, expositions au soleil, pollution atmosphérique, mauvaise alimentation, stress et manque de sommeil, tabac et défaut d’hydratation.
Les huiles essentielles, riches en composés hydratants et anti-inflammatoires, permettent aux cellules de l’épiderme de se renouveler plus facilement. Celles-ci ont des propriétés anti-oxydantes efficaces contre les radicaux libres, à l’origine du vieillissement cutané. Les huiles végétales telles que l’argan, l’argousier, la cameline, le chanvre, la figue de Barbarie, le germe de blé, la périlla, et la rose musquée ont également d’excellentes propriétés pour hydrater la peau et en améliorer l’élasticité grâce à leur richesse en oméga 3, 6 et 9. On a donc tout intérêt à associer ces deux types d’huile pour un maximum de succès !
LES HUILES ESSENTIELLES ANTI-RIDES INCONTOURNABLES POUR LE VISAGE
L’HUILE ESSENTIELLE D’ENCENS OLIBAN
– L’huile essentielle d’encens oliban (Boswellia carterii) possède beaucoup de bienfaits pour la peau. Son utilisation permet de minimiser la profondeur des rides ou à repousser leur apparition en favorisant la régénération cellulaire et le maintien en bonne santé des cellules existantes, ce qui entraîne une production optimale de collagène et d’élastine. Son côté astringent permet de réduire les pores tout en en minimisant l’apparence et en prévenant l’apparition des rides. Elle vous permettra de réaliser une huile anti-âge régénérante en en mélangeant 10 gouttes dans 20 ml d’huile végétale de framboise dans un flacon-pompe, à appliquer quotidiennement matin et/ou soir comme un sérum.
Précautions particulières : cette huile essentielle ne convient pas aux femmes enceintes et allaitantes, elle doit toujours être diluée avant utilisation sur la peau.
L’HUILE DE BOIS DE ROSE
– L’huile essentielle de bois de rose (Aniba rosaeodora var. amazonica) pour ses vertus régénérantes et tonifiantes : c’est une des huiles préférées des peaux matures et fatiguées et elle s’utilise comme un actif anti-âge. Vous pouvez l’utiliser seule, diluée dans une huile végétale de rose musquée par exemple (qui est raffermissante car elle favorise la synthèse du collagène), à raison d’une goutte d’HE dans 4 gouttes d’HV, puis massez le mélange en douceur sur votre visage, cou, décolleté et vos mains propres mais encore humides (pour garder au maximum l’hydratation et éviter que les pores ne se bouchent) le soir pendant trois semaines. Effectuez une pause d’une semaine puis reprenez le soin si nécessaire.
huile essentielle de géranium
L’HUILE ESSENTIELLE DE GERANIUM
– L’HE de bois de rose est efficace en synergie avec d’autres huiles, notamment celle de géranium rosat (ou bourbon ou Egypte, Pelargonium asperum). En effet, cette dernière est considérée comme la référence contre les rides par sa composition aux propriétés astringentes et antioxydantes courues dans la lutte contre les rides. Elle peut être utilisée de la même manière que l’HE de bois de rose, ou en synergie avec celle-ci, à raison de 10 gouttes d’HE de bois de rose et 5 gouttes d’HE de géranium rosat dans 30 ml d’huile végétale de cerise, à mélanger dans un flacon-pompe et à appliquer délicatement matin et/ou soir en soin quotidien ou sous la crème de jour/nuit.
Précautions particulières : ces deux HE ne conviennent pas aux femmes enceintes de moins de 3 mois, ni aux femmes allaitantes et ne doivent pas être utilisées pures sur la peau. Le bois de rose est désormais une espèce protégée, veillez à vous procurer une huile essentielle issue de forêts gérées durablement et certifiées BIO, c’est bon pour votre santé, et pour la planète !
ciste-ladanifere-rides
L’HUILE DE CISTE CONTRE LES RIDES
– L’huile essentielle de ciste ladanifère (Cistus ladaniferus) a des vertus anti-oxydantes et tonifiantes très intéressantes pour la peau. Ses propriétés astringentes et raffermissantes rendent aux peaux matures leur aspect rebondi. Elle contient du viridiflorol aux propriétés oestrogen-like, qui mime l’action des œstrogènes dont le défaut entraîne la chute de la production du collagène et de l’élastine, responsables de l’élasticité de la peau.
Vous pouvez l’utiliser seule à raison d’une goutte dans votre dose de crème de nuit, ou en mélangeant 10 gouttes à 5 gouttes d’HE de bois de Hô (régénérante et tonique cutanée) dans 30 ml d’huile végétale d’hibiscus, à mettre dans un flacon-pompe et à utiliser comme soin le matin et/ou le soir.
Précautions particulières : ce mélange ne convient pas aux femmes enceintes de moins de 3 mois et allaitantes, ainsi qu’aux personnes épileptiques. Il est déconseillé en cas de mastose, fibrome et cancers hormono-dépendants, ainsi qu’en cas de traitement anti-coagulant.
L’HUILE DE CAROTTE
– L’huile essentielle de carotte (Daucus carota) est riche en minéraux stimulant la croissance cellulaire et en vitamines tels que la vitamine C et E, qui sont de puissants antioxydants naturels. La présence de vitamine C lui prodigue des vertus éclaircissantes, ce qui en fait un ingrédient incontournable des soins « bonne mine ».
Précautions particulières : cette huile essentielle ne convient pas aux femmes enceintes, aux femmes allaitantes, en cas de problèmes hépatiques, rénaux ou de cholestérol, en cas de cancer ou antécédents de cancer.
huile essentielle immortelle
L’HUILE ESSENTIELLE IMMORTELLE OU D’HELICHRYSE ITALIENNE
– L’huile essentielle d’hélichryse italienne (Helichrysum italicum ssp. italicum) est traditionnellement utilisée dans les soins des petits bobos, mais grâce à ses vertus astringentes, elle permet également de réaliser des soins raffermissants, cicatrisants et apaisants pour la peau, tout en atténuant les effets du relâchement cutané. Elle peut être utilisée seule, en en diluant une goutte dans quatre gouttes d’huile d’argan ou de rose musquée, puis appliquée sur le visage matin et soir en massant délicatement, en interrompant le soin pendant une semaine au bout de trois semaines d’application, et à recommencer si besoin est. Vous pouvez également l’utiliser en synergie pour réaliser un sérum pour peau marquée : dans un flacon compte-goutte, mélangez 5 gouttes d’HE de carotte, 3 gouttes d’HE d’hélichryse italienne et 3 gouttes d’HE de géranium rosat à 20 ml d’HV de rose musquée, puis massez-en quelques gouttes sur votre visage et votre cou le soir.
Précautions particulières : cette HE ne convient pas aux femmes enceintes et allaitantes, et est déconseillée en cas de traitement anticoagulant.
Le mot de la naturopathe
Nous l’avons vu, il est illusoire de vouloir lutter contre les rides car elles sont un phénomène naturel apparaissant avec le temps. On peut cependant repousser leur venue, ou en diminuer les marques grâce aux huiles essentielles notamment, mais aussi à des gestes simples de prévention : limiter les expositions au soleil sans protection, bien hydrater sa peau de l’extérieur comme de l’intérieur (en buvant suffisamment d’eau et en agrémentant son alimentation en acides gras essentiels), en mangeant des fruits et des légumes riches en antioxydants, en se démaquillant tous les soirs avant d’aller au lit, en dormant suffisamment… Mais le rire reste de loin le meilleur anti-ride, et le moins cher ! L’acceptation et l’amour de soi inconditionnels évitent aussi bien des tracas inutiles, et donc, des rides supplémentaires !
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A partir d’un certain âge, nous sommes à l’affût des premières rides sur notre visage, marques du temps qui passe, inexorablement. L’éloge de la jeunesse, arbitrairement synonyme de beauté, nous pousse à vouloir un visage plus lisse, à la peau rebondie. Argument marketing des marques de cosmétiques dits « conventionnels », la recherche à tout prix d’une peau de bébé peut vite devenir une manne financière, et une obsession pour certain(e)s. Mais au risque de vous décevoir, la solution miracle anti-ride n’existe pas, les rides sont l’apanage de toutes et tous ! Cependant, il existe des solutions pour améliorer la tonicité de la peau, atténuer les marques du temps et tout cela de façon naturelle. En effet, des huiles essentielles bien choisies, en synergie avec des huiles végétales ciblées peuvent aider à ralentir le phénomène, sans apporter de composants chimiques inutiles pour la peau, et pour notre organisme ! Voici notre sélection d’huiles essentielles dites « anti-rides », à utiliser en se conformant aux précautions d’usage.
CHOISIR LES HUILES ESSENTIELLES COMME ANTI-RIDES : UNE QUESTION DE BON SENS
Au fil des années, on perçoit les premiers signes de l’âge : la peau devient moins souple et moins ferme. Les rides, plis sur la surface de l’épiderme causées par cette perte de tonicité cutanée, se font de plus en plus visibles. Elles se remarquent principalement sur le visage, le cou, le décolleté et les mains, et sont engendrées par divers facteurs : ralentissement de la sécrétion hormonale, baisse de la production de collagène (qui est significative passé la quarantaine) et d’élastine, expositions au soleil, pollution atmosphérique, mauvaise alimentation, stress et manque de sommeil, tabac et défaut d’hydratation.
Les huiles essentielles, riches en composés hydratants et anti-inflammatoires, permettent aux cellules de l’épiderme de se renouveler plus facilement. Celles-ci ont des propriétés anti-oxydantes efficaces contre les radicaux libres, à l’origine du vieillissement cutané. Les huiles végétales telles que l’argan, l’argousier, la cameline, le chanvre, la figue de Barbarie, le germe de blé, la périlla, et la rose musquée ont également d’excellentes propriétés pour hydrater la peau et en améliorer l’élasticité grâce à leur richesse en oméga 3, 6 et 9. On a donc tout intérêt à associer ces deux types d’huile pour un maximum de succès !
LES HUILES ESSENTIELLES ANTI-RIDES INCONTOURNABLES POUR LE VISAGE
L’HUILE ESSENTIELLE D’ENCENS OLIBAN
– L’huile essentielle d’encens oliban (Boswellia carterii) possède beaucoup de bienfaits pour la peau. Son utilisation permet de minimiser la profondeur des rides ou à repousser leur apparition en favorisant la régénération cellulaire et le maintien en bonne santé des cellules existantes, ce qui entraîne une production optimale de collagène et d’élastine. Son côté astringent permet de réduire les pores tout en en minimisant l’apparence et en prévenant l’apparition des rides. Elle vous permettra de réaliser une huile anti-âge régénérante en en mélangeant 10 gouttes dans 20 ml d’huile végétale de framboise dans un flacon-pompe, à appliquer quotidiennement matin et/ou soir comme un sérum.
Précautions particulières : cette huile essentielle ne convient pas aux femmes enceintes et allaitantes, elle doit toujours être diluée avant utilisation sur la peau.
L’HUILE DE BOIS DE ROSE
– L’huile essentielle de bois de rose (Aniba rosaeodora var. amazonica) pour ses vertus régénérantes et tonifiantes : c’est une des huiles préférées des peaux matures et fatiguées et elle s’utilise comme un actif anti-âge. Vous pouvez l’utiliser seule, diluée dans une huile végétale de rose musquée par exemple (qui est raffermissante car elle favorise la synthèse du collagène), à raison d’une goutte d’HE dans 4 gouttes d’HV, puis massez le mélange en douceur sur votre visage, cou, décolleté et vos mains propres mais encore humides (pour garder au maximum l’hydratation et éviter que les pores ne se bouchent) le soir pendant trois semaines. Effectuez une pause d’une semaine puis reprenez le soin si nécessaire.
huile essentielle de géranium
L’HUILE ESSENTIELLE DE GERANIUM
– L’HE de bois de rose est efficace en synergie avec d’autres huiles, notamment celle de géranium rosat (ou bourbon ou Egypte, Pelargonium asperum). En effet, cette dernière est considérée comme la référence contre les rides par sa composition aux propriétés astringentes et antioxydantes courues dans la lutte contre les rides. Elle peut être utilisée de la même manière que l’HE de bois de rose, ou en synergie avec celle-ci, à raison de 10 gouttes d’HE de bois de rose et 5 gouttes d’HE de géranium rosat dans 30 ml d’huile végétale de cerise, à mélanger dans un flacon-pompe et à appliquer délicatement matin et/ou soir en soin quotidien ou sous la crème de jour/nuit.
Précautions particulières : ces deux HE ne conviennent pas aux femmes enceintes de moins de 3 mois, ni aux femmes allaitantes et ne doivent pas être utilisées pures sur la peau. Le bois de rose est désormais une espèce protégée, veillez à vous procurer une huile essentielle issue de forêts gérées durablement et certifiées BIO, c’est bon pour votre santé, et pour la planète !
ciste-ladanifere-rides
L’HUILE DE CISTE CONTRE LES RIDES
– L’huile essentielle de ciste ladanifère (Cistus ladaniferus) a des vertus anti-oxydantes et tonifiantes très intéressantes pour la peau. Ses propriétés astringentes et raffermissantes rendent aux peaux matures leur aspect rebondi. Elle contient du viridiflorol aux propriétés oestrogen-like, qui mime l’action des œstrogènes dont le défaut entraîne la chute de la production du collagène et de l’élastine, responsables de l’élasticité de la peau.
Vous pouvez l’utiliser seule à raison d’une goutte dans votre dose de crème de nuit, ou en mélangeant 10 gouttes à 5 gouttes d’HE de bois de Hô (régénérante et tonique cutanée) dans 30 ml d’huile végétale d’hibiscus, à mettre dans un flacon-pompe et à utiliser comme soin le matin et/ou le soir.
Précautions particulières : ce mélange ne convient pas aux femmes enceintes de moins de 3 mois et allaitantes, ainsi qu’aux personnes épileptiques. Il est déconseillé en cas de mastose, fibrome et cancers hormono-dépendants, ainsi qu’en cas de traitement anti-coagulant.
L’HUILE DE CAROTTE
– L’huile essentielle de carotte (Daucus carota) est riche en minéraux stimulant la croissance cellulaire et en vitamines tels que la vitamine C et E, qui sont de puissants antioxydants naturels. La présence de vitamine C lui prodigue des vertus éclaircissantes, ce qui en fait un ingrédient incontournable des soins « bonne mine ».
Précautions particulières : cette huile essentielle ne convient pas aux femmes enceintes, aux femmes allaitantes, en cas de problèmes hépatiques, rénaux ou de cholestérol, en cas de cancer ou antécédents de cancer.
huile essentielle immortelle
L’HUILE ESSENTIELLE IMMORTELLE OU D’HELICHRYSE ITALIENNE
– L’huile essentielle d’hélichryse italienne (Helichrysum italicum ssp. italicum) est traditionnellement utilisée dans les soins des petits bobos, mais grâce à ses vertus astringentes, elle permet également de réaliser des soins raffermissants, cicatrisants et apaisants pour la peau, tout en atténuant les effets du relâchement cutané. Elle peut être utilisée seule, en en diluant une goutte dans quatre gouttes d’huile d’argan ou de rose musquée, puis appliquée sur le visage matin et soir en massant délicatement, en interrompant le soin pendant une semaine au bout de trois semaines d’application, et à recommencer si besoin est. Vous pouvez également l’utiliser en synergie pour réaliser un sérum pour peau marquée : dans un flacon compte-goutte, mélangez 5 gouttes d’HE de carotte, 3 gouttes d’HE d’hélichryse italienne et 3 gouttes d’HE de géranium rosat à 20 ml d’HV de rose musquée, puis massez-en quelques gouttes sur votre visage et votre cou le soir.
Précautions particulières : cette HE ne convient pas aux femmes enceintes et allaitantes, et est déconseillée en cas de traitement anticoagulant.
Le mot de la naturopathe
Nous l’avons vu, il est illusoire de vouloir lutter contre les rides car elles sont un phénomène naturel apparaissant avec le temps. On peut cependant repousser leur venue, ou en diminuer les marques grâce aux huiles essentielles notamment, mais aussi à des gestes simples de prévention : limiter les expositions au soleil sans protection, bien hydrater sa peau de l’extérieur comme de l’intérieur (en buvant suffisamment d’eau et en agrémentant son alimentation en acides gras essentiels), en mangeant des fruits et des légumes riches en antioxydants, en se démaquillant tous les soirs avant d’aller au lit, en dormant suffisamment… Mais le rire reste de loin le meilleur anti-ride, et le moins cher ! L’acceptation et l’amour de soi inconditionnels évitent aussi bien des tracas inutiles, et donc, des rides supplémentaires !
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#Aromathérapie #Calcul #AB #Reins
Eviter et soulager les calculs rénaux avec les huilesShow more essentielles
Les lithiases rénales plus communément appelées « calculs », sont des cristaux de sels minéraux et d'acides qui se forment dans les voies urinaires. Très douloureuse et souvent récidivante, cette affection peut être soulagée, voire évitée grâce aux huiles essentielles.
Ils touchent 5 à 10 % de la population, et principalement les hommes : dans une grosse majorité des cas, les calculs se forment par agrégation de petits cristaux d’oxalate de calcium ou bien d’acide urique. Cécile Adant, pharmacienne et responsable des formations chez Pranarôm, explique que ces concrétions pierreuses résultent souvent d’un terrain génétique propice à leur développement ou de mauvaises habitudes de vie. Car très souvent, les calculs sont dus à un manque de dilution des urines, c’est-à-dire à une consommation trop faible en eau. « Les minéraux issus de notre alimentation tels que le calcium, potassium, sodium peuvent alors s’accumuler et se retrouver en concentration excessive dans l’urine. Ils peuvent s’agréger et former des petites particules solides ». Autre origine courante, l’alimentation riche en sucre et en protéines animales qui provoque un déséquilibre acido-basique. « Le pH sanguin s’acidifie et favorise la formation de cristaux d’oxalate de calcium et d’acide urique. » Concernant l’aspect génétique de la maladie, elle poursuit : « On peut avoir une déficience rénale de nature qui fait que le rein ne fonctionne pas de manière optimale ». Effectivement, on retrouve une histoire familiale dans près de 40 % des cas.
Vers la colique néphrétique
Lorsqu’ils sont minuscules, les calculs rénaux peuvent facilement être éliminés par les voies naturelles, mais certains plus épais (ils peuvent atteindre la taille d’une balle de golf !) peuvent se coincer dans le haut de l’appareil urinaire, parfois dans la vessie, déclenchant dans 80 % des cas une crise de colique néphrétique. Les calculs bouchent les canaux par lesquels l’urine est évacuée, provoquant une pression dans les voies urinaires et une rétention des urines. « Le passage de la pierre dans les uretères provoque des douleurs lombaires insoutenables et omniprésentes, au point que l’on peut penser que l’on va mourir, et hélas, aucune position ne soulage. L’envie d’uriner est fréquente et la miction provoque des brûlures. La mobilité des cristaux peut également blesser les parois urinaires, pouvant provoquer la présence de sang dans les urines » détaille Cécile Adant. En cas de fièvre, de frissons ou de marbrures cutanées (marques violacées sur la peau dessinant un réseau en mailles), il peut s’agir d’une infection, il est alors nécessaire de consulter.
Anti-inflammatoires et antalgiques opiacés
Face aux douleurs violentes que peut générer la colique néphrétique, la médecine allopathique répond par la prise de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et d’antalgiques opiacés, afin de soulager ces sensations aiguës et continues. Autre technique, l’urétéroscopie consiste à enlever le calcul, sous anesthésie générale, à l’aide d’un urétéroscope, ou de le pulvériser au laser s’il est trop gros. Mais ces traitements ne sont pas sans effets secondaires. « Les anti-inflammatoires peuvent créer des maux d’estomac et des saignements supplémentaires. Quant aux antalgiques, ils sont si puissants qu’ils peuvent provoquer nausées, constipation et vous mettre complètement HS », commente Cécile Adant. Des effets contraignants qui peuvent être évités et, pour ce qui est de l’action antalgique, optimisée, en choisissant l’aromathérapie.
Soulager en urgence
En cas de crise de colique néphrétique, l’huile essentielle de khella (Ammi visnaga) est à avoir dans sa trousse à pharmacie d’urgence. « Cette huile essentielle dilate les vaisseaux de l’uretère, ce qui va permettre de faciliter le passage et l’évacuation des calculs lors de la miction. Elle possède des propriétés antispasmodiques puissantes grâce à sa teneur en furanochromones et en pyranocoumarines » décrit Cécile Adant. Une huile essentielle que l’on va associer à celle d’hélichryse italienne (Helichrysum italicum) connue pour ses vertus anti-inflammatoire, antidouleur, décongestionnante et antispasmodique. Il est possible d’obtenir un effet antalgique quasi immédiat, en cumulant une prise sublinguale de ces deux huiles, avec une application cutanée sur la zone douloureuse. « Souvent, la douleur s’arrête presque instantanément, alors que les médicaments mettent une bonne demi-heure à agir » ajoute Cécile Adant. Seul hic, la khella et l’hélichryse italienne sont deux huiles onéreuses, mais le soulagement qu’elles entraînent vous convaincra.
Formule pour soulager une crise de colique néphrétique
Propriétés : Vasodilatatrice, décongestionnante, antalgique, anti-inflammatoire.
Indication : Au moment de la crise, lorsque la douleur est vive.
Huile essentielle de khella Ammi visnaga ... 2 gouttes
Huile essentielle d’hélichryse italienne Helichrysum italicum ... 2 gouttes
Mode d’emploi : Verser les huiles essentielles pures dans la paume de la main.
Posologie : Masser le mélange des deux huiles sur la zone douloureuse (en général au niveau des lombaires). Verser les mêmes doses dans une cuillère à café de miel et déposer sous la langue jusqu’à six fois dans la journée. Si la douleur baisse, diviser le dosage par deux (1 goutte de chaque HE).
Précautions d’emploi : Pas chez la femme enceinte et allaitante, ni chez l’enfant avant 6 ans, ni pour les personnes asthmatiques ou en cas d’exposition au soleil.
Prévenir la récidive
Une fois la crise passée, il est important de rester vigilant car la lithiase urinaire est une pathologie récidivante. Terrain génétique favorable, métabolisme lent, mauvaises habitudes alimentaires, situation de stress… Chez la moitié des personnes qui ont connu une crise de colique néphrétique, une deuxième crise est observée dans les cinq années suivantes. Cette tendance aux rechutes justifie la mise en place d’une hygiène de vie adaptée combinée à l’usage de l’aromathérapie.
Une prévention au quotidien
Suite à un premier épisode de calculs rénaux, le risque de récidive est assez élevé (10 à 20 % dans l’année qui suit, 40 % cinq ans après et 75 % vingt ans après). Voici les mesures diététiques et solutions phyto à mettre en place au quotidien, si vous êtes sujet à des calculs calciques, la forme la plus fréquente (85 % des cas).
Faire le plein de fruits et de légumes.
Ne pas abuser d’aliments riches en acide oxalique : épinard, cresson, oseille, chocolat.
Boire beaucoup augmente le volume des urines et limite la concentration des sels minéraux. Privilégier une eau riche en bicarbonate (Saint-Yorre, Hépar, Vittel).
Faire une cure de jus de citron ou de jus d’orange, riche en citrate qui inhibe la formation et l’agrégation des cristaux d’oxalate de calcium.
Limiter les apports en sel : maximum 6 g par jour.
Boire des tisanes drainantes et équilibrantes minérales : chiendent, ortie, verge d’or, pissenlit, prêle, cassis. Les décoctions d’aubier de tilleul soutiennent le fonctionnement des reins.
En gemmothérapie, les bourgeons de genévrier et d’airelle sont indiqués.
En cas de calculs uriques : il convient de limiter les produits provenant d’animaux (viandes rouges ou fumées, abats, crustacés) et sucres rapides. Mieux vaut éviter les asperges.
En gemmothérapie, le bourgeon de bouleau est conseillé.
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De l’essence de citron pour une détox intérieure
Certaines huiles essentielles ont en effet la capacité de dissoudre les pierres, par une action litholytique. Si ce mécanisme d’action n’a pas été expliqué scientifiquement, il n’en reste pas moins efficace, certaines molécules freinant la formation des calculs. L’essence de citron (Citrus limonum) et l’huile essentielle de lemongrass (Cymbopogon) contiennent des molécules appelées aldéhydes terpéniques et terpènes qui permettent d’éviter la formation de ces concrétions. « En plus de leur action litholytique, ces deux huiles sont intéressantes en prévention car anti-inflammatoires et basifiantes du pH de l’organisme. Le lemongrass est également antalgique et anti-infectieux » précise l’aromathérapeute. D’autre part, l’huile essentielle de genévrier commun (Juniperus communis L.), à la fois antalgique et drainante, va faciliter le travail du rein grâce également, à sa teneur en molécules terpéniques.
Enfin, Cécile Adant recommande le romarin à verbénone pour exercer une action de fond. « Cette huile essentielle décongestionne le foie afin de limiter les déchets dans le sang et ainsi alléger le travail du rein ».
Consommées par voie sublinguale, ces huiles essentielles entrent directement dans la circulation sanguine et sont rapidement filtrées par le rein pour un effet anti-inflammatoire, antidouleur et anti-infectieux très rapide. Idéal lorsque l’on sort d’une crise de colique néphrétique, ou dès les premiers signaux d’une nouvelle crise.
Formule pour prévenir une récidive de calculs rénaux
Propriétés : Litholytique, drainante, anti-inflammatoire, antalgique.
Indications : Après une crise ou en cas de premiers signaux d’une nouvelle crise.
Huile essentielle de genévrier commun Juniperus communis L. ... 60 gouttes
Huile essentielle de lemongrass Cymbopogon ... 30 gouttes
Essence de citron Citrus limonum ... 60 gouttes
Huile essentielle chémotypée de romarin à verbénone Rosmarinus officinalis CT verbénone ... 30 gouttes
Mode d’emploi : Dans un flacon de 10 ml, verser les gouttes d’huiles essentielles.
Posologie : Déposer 2 gouttes du mélange dans une cuillère à café d’huile d’olive et déposer sous la langue. À faire 1 à 2 fois par jour, pendant 3 semaines.
Précautions d’emploi : À ne pas utiliser par la femme enceinte ou allaitante ni par les enfants avant 6 ans.Cécile Adant
Eviter et soulager les calculs rénaux avec les huilesShow more essentielles
Les lithiases rénales plus communément appelées « calculs », sont des cristaux de sels minéraux et d'acides qui se forment dans les voies urinaires. Très douloureuse et souvent récidivante, cette affection peut être soulagée, voire évitée grâce aux huiles essentielles.
Ils touchent 5 à 10 % de la population, et principalement les hommes : dans une grosse majorité des cas, les calculs se forment par agrégation de petits cristaux d’oxalate de calcium ou bien d’acide urique. Cécile Adant, pharmacienne et responsable des formations chez Pranarôm, explique que ces concrétions pierreuses résultent souvent d’un terrain génétique propice à leur développement ou de mauvaises habitudes de vie. Car très souvent, les calculs sont dus à un manque de dilution des urines, c’est-à-dire à une consommation trop faible en eau. « Les minéraux issus de notre alimentation tels que le calcium, potassium, sodium peuvent alors s’accumuler et se retrouver en concentration excessive dans l’urine. Ils peuvent s’agréger et former des petites particules solides ». Autre origine courante, l’alimentation riche en sucre et en protéines animales qui provoque un déséquilibre acido-basique. « Le pH sanguin s’acidifie et favorise la formation de cristaux d’oxalate de calcium et d’acide urique. » Concernant l’aspect génétique de la maladie, elle poursuit : « On peut avoir une déficience rénale de nature qui fait que le rein ne fonctionne pas de manière optimale ». Effectivement, on retrouve une histoire familiale dans près de 40 % des cas.
Vers la colique néphrétique
Lorsqu’ils sont minuscules, les calculs rénaux peuvent facilement être éliminés par les voies naturelles, mais certains plus épais (ils peuvent atteindre la taille d’une balle de golf !) peuvent se coincer dans le haut de l’appareil urinaire, parfois dans la vessie, déclenchant dans 80 % des cas une crise de colique néphrétique. Les calculs bouchent les canaux par lesquels l’urine est évacuée, provoquant une pression dans les voies urinaires et une rétention des urines. « Le passage de la pierre dans les uretères provoque des douleurs lombaires insoutenables et omniprésentes, au point que l’on peut penser que l’on va mourir, et hélas, aucune position ne soulage. L’envie d’uriner est fréquente et la miction provoque des brûlures. La mobilité des cristaux peut également blesser les parois urinaires, pouvant provoquer la présence de sang dans les urines » détaille Cécile Adant. En cas de fièvre, de frissons ou de marbrures cutanées (marques violacées sur la peau dessinant un réseau en mailles), il peut s’agir d’une infection, il est alors nécessaire de consulter.
Anti-inflammatoires et antalgiques opiacés
Face aux douleurs violentes que peut générer la colique néphrétique, la médecine allopathique répond par la prise de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et d’antalgiques opiacés, afin de soulager ces sensations aiguës et continues. Autre technique, l’urétéroscopie consiste à enlever le calcul, sous anesthésie générale, à l’aide d’un urétéroscope, ou de le pulvériser au laser s’il est trop gros. Mais ces traitements ne sont pas sans effets secondaires. « Les anti-inflammatoires peuvent créer des maux d’estomac et des saignements supplémentaires. Quant aux antalgiques, ils sont si puissants qu’ils peuvent provoquer nausées, constipation et vous mettre complètement HS », commente Cécile Adant. Des effets contraignants qui peuvent être évités et, pour ce qui est de l’action antalgique, optimisée, en choisissant l’aromathérapie.
Soulager en urgence
En cas de crise de colique néphrétique, l’huile essentielle de khella (Ammi visnaga) est à avoir dans sa trousse à pharmacie d’urgence. « Cette huile essentielle dilate les vaisseaux de l’uretère, ce qui va permettre de faciliter le passage et l’évacuation des calculs lors de la miction. Elle possède des propriétés antispasmodiques puissantes grâce à sa teneur en furanochromones et en pyranocoumarines » décrit Cécile Adant. Une huile essentielle que l’on va associer à celle d’hélichryse italienne (Helichrysum italicum) connue pour ses vertus anti-inflammatoire, antidouleur, décongestionnante et antispasmodique. Il est possible d’obtenir un effet antalgique quasi immédiat, en cumulant une prise sublinguale de ces deux huiles, avec une application cutanée sur la zone douloureuse. « Souvent, la douleur s’arrête presque instantanément, alors que les médicaments mettent une bonne demi-heure à agir » ajoute Cécile Adant. Seul hic, la khella et l’hélichryse italienne sont deux huiles onéreuses, mais le soulagement qu’elles entraînent vous convaincra.
Formule pour soulager une crise de colique néphrétique
Propriétés : Vasodilatatrice, décongestionnante, antalgique, anti-inflammatoire.
Indication : Au moment de la crise, lorsque la douleur est vive.
Huile essentielle de khella Ammi visnaga ... 2 gouttes
Huile essentielle d’hélichryse italienne Helichrysum italicum ... 2 gouttes
Mode d’emploi : Verser les huiles essentielles pures dans la paume de la main.
Posologie : Masser le mélange des deux huiles sur la zone douloureuse (en général au niveau des lombaires). Verser les mêmes doses dans une cuillère à café de miel et déposer sous la langue jusqu’à six fois dans la journée. Si la douleur baisse, diviser le dosage par deux (1 goutte de chaque HE).
Précautions d’emploi : Pas chez la femme enceinte et allaitante, ni chez l’enfant avant 6 ans, ni pour les personnes asthmatiques ou en cas d’exposition au soleil.
Prévenir la récidive
Une fois la crise passée, il est important de rester vigilant car la lithiase urinaire est une pathologie récidivante. Terrain génétique favorable, métabolisme lent, mauvaises habitudes alimentaires, situation de stress… Chez la moitié des personnes qui ont connu une crise de colique néphrétique, une deuxième crise est observée dans les cinq années suivantes. Cette tendance aux rechutes justifie la mise en place d’une hygiène de vie adaptée combinée à l’usage de l’aromathérapie.
Une prévention au quotidien
Suite à un premier épisode de calculs rénaux, le risque de récidive est assez élevé (10 à 20 % dans l’année qui suit, 40 % cinq ans après et 75 % vingt ans après). Voici les mesures diététiques et solutions phyto à mettre en place au quotidien, si vous êtes sujet à des calculs calciques, la forme la plus fréquente (85 % des cas).
Faire le plein de fruits et de légumes.
Ne pas abuser d’aliments riches en acide oxalique : épinard, cresson, oseille, chocolat.
Boire beaucoup augmente le volume des urines et limite la concentration des sels minéraux. Privilégier une eau riche en bicarbonate (Saint-Yorre, Hépar, Vittel).
Faire une cure de jus de citron ou de jus d’orange, riche en citrate qui inhibe la formation et l’agrégation des cristaux d’oxalate de calcium.
Limiter les apports en sel : maximum 6 g par jour.
Boire des tisanes drainantes et équilibrantes minérales : chiendent, ortie, verge d’or, pissenlit, prêle, cassis. Les décoctions d’aubier de tilleul soutiennent le fonctionnement des reins.
En gemmothérapie, les bourgeons de genévrier et d’airelle sont indiqués.
En cas de calculs uriques : il convient de limiter les produits provenant d’animaux (viandes rouges ou fumées, abats, crustacés) et sucres rapides. Mieux vaut éviter les asperges.
En gemmothérapie, le bourgeon de bouleau est conseillé.
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De l’essence de citron pour une détox intérieure
Certaines huiles essentielles ont en effet la capacité de dissoudre les pierres, par une action litholytique. Si ce mécanisme d’action n’a pas été expliqué scientifiquement, il n’en reste pas moins efficace, certaines molécules freinant la formation des calculs. L’essence de citron (Citrus limonum) et l’huile essentielle de lemongrass (Cymbopogon) contiennent des molécules appelées aldéhydes terpéniques et terpènes qui permettent d’éviter la formation de ces concrétions. « En plus de leur action litholytique, ces deux huiles sont intéressantes en prévention car anti-inflammatoires et basifiantes du pH de l’organisme. Le lemongrass est également antalgique et anti-infectieux » précise l’aromathérapeute. D’autre part, l’huile essentielle de genévrier commun (Juniperus communis L.), à la fois antalgique et drainante, va faciliter le travail du rein grâce également, à sa teneur en molécules terpéniques.
Enfin, Cécile Adant recommande le romarin à verbénone pour exercer une action de fond. « Cette huile essentielle décongestionne le foie afin de limiter les déchets dans le sang et ainsi alléger le travail du rein ».
Consommées par voie sublinguale, ces huiles essentielles entrent directement dans la circulation sanguine et sont rapidement filtrées par le rein pour un effet anti-inflammatoire, antidouleur et anti-infectieux très rapide. Idéal lorsque l’on sort d’une crise de colique néphrétique, ou dès les premiers signaux d’une nouvelle crise.
Formule pour prévenir une récidive de calculs rénaux
Propriétés : Litholytique, drainante, anti-inflammatoire, antalgique.
Indications : Après une crise ou en cas de premiers signaux d’une nouvelle crise.
Huile essentielle de genévrier commun Juniperus communis L. ... 60 gouttes
Huile essentielle de lemongrass Cymbopogon ... 30 gouttes
Essence de citron Citrus limonum ... 60 gouttes
Huile essentielle chémotypée de romarin à verbénone Rosmarinus officinalis CT verbénone ... 30 gouttes
Mode d’emploi : Dans un flacon de 10 ml, verser les gouttes d’huiles essentielles.
Posologie : Déposer 2 gouttes du mélange dans une cuillère à café d’huile d’olive et déposer sous la langue. À faire 1 à 2 fois par jour, pendant 3 semaines.
Précautions d’emploi : À ne pas utiliser par la femme enceinte ou allaitante ni par les enfants avant 6 ans.Cécile Adant
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